LA SCIENCE : COMMENT ÇA MARCHE
COMMENT FONCTIONNENT LES BANDELETTES NASALES ?
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Améliorer les performances
Bénéficiez de performances athlétiques et cognitives améliorées grâce à une respiration efficace.
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Améliorer la récupération
Assure que votre corps reçoit l’oxygène dont il a besoin pour guérir et se régénérer.
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Réduire le ronflement
Réduisez le ronflement en gardant les voies nasales ouvertes, ce qui conduit à des nuits plus calmes et plus reposantes.
OÙ METTRE LA BANDELETTE NASALE
De nombreuses personnes placent des bandelettes nasales sur la mauvaise partie de leur nez et se demandent pourquoi elles ne fonctionnent pas.
Placez notre bandelette nasale au milieu du pli alaire.
Si vous trouvez que les placer ailleurs donne de meilleurs résultats, veuillez continuer, sinon les placer plus bas sur le nez, sur le pli alaire, donne les meilleurs résultats pour la plupart des gens.
il faudra peut-être plusieurs essais avant d'y parvenir
Vous trouverez ci-dessous un résumé de diverses recherches cliniques sur les avantages considérables que peuvent apporter les bandelettes nasales.
Recherches et études
Perspectives scientifiques
Des recherches menées par des institutions prestigieuses comme l'Université de Milan [1] soulignent les bienfaits transformateurs de l'adoption de techniques de respiration nasale. Des études révèlent que les jeunes athlètes suivant un entraînement à la respiration nasale constatent des améliorations remarquables de leur condition physique et de leur fonction pulmonaire [1]. Ces améliorations comprennent un apport accru d'oxygène aux muscles sollicités, une récupération accélérée et un système nerveux équilibré.
Consensus d'experts
Des études cliniques corroborent la supériorité de la respiration nasale sur la respiration buccale sur divers paramètres physiologiques. Des chercheurs ont observé que la respiration nasale amplifie la tension artérielle en oxygène, renforce la fonction pulmonaire et renforce le système immunitaire grâce à la libération d'oxyde nitrique [2]. De plus, la respiration nasale surpasse la respiration buccale en termes d'augmentation du volume pulmonaire et de l'absorption artérielle d'oxygène, ce qui plaide en faveur de son adoption dans les contextes sportifs et quotidiens.
Avantages de la respiration nasale pour les coureurs
La respiration nasale offre de nombreux avantages aux coureurs, allant d'une meilleure absorption et distribution d'oxygène à une meilleure efficacité respiratoire et à une réduction du risque de bronchoconstriction induite par l'exercice. Des données scientifiques confirment la supériorité de la respiration nasale sur la respiration buccale pour optimiser l'oxygénation et minimiser la fatigue respiratoire pendant l'activité physique [4].
Améliore la fonction cognitive
La santé de notre nez ne se limite pas à éviter la congestion ; il s'agit aussi d'optimiser nos capacités cognitives. Des études montrent que les personnes ayant une fonction nasale normale présentent de meilleures performances cognitives et un niveau d'énergie plus élevé que celles souffrant de problèmes nasaux chroniques [3].
Optimise l'utilisation de l'oxygène
La façon dont nous respirons pendant l'exercice influence nos performances. Il a été démontré que la respiration nasale améliore l'utilisation de l'oxygène par l'organisme, suggérant son efficacité à oxygéner les muscles pour une performance optimale [5].
Références
[1] Cavaggioni, Luca, et al. « Effets d’un protocole de respiration nasale sur la condition physique et la fonction pulmonaire chez les jeunes basketteurs. » The Journal of sports medicine and physical fitness (2021).
[2] Lundberg, JON et E. Weitzberg. « Oxyde nitrique nasal chez l'homme ». Thorax 54, n° 10 (1999) : 947-952.
[3] Ihara, Yasuo, et al. « HLA et choix du partenaire humain : tests sur les couples japonais. » Anthropological Science 108.2 (2000) : 199-214.
[4] McGurk, SP, BA Blanksby et MJ Anderson. « Relation entre les réponses ventilatoires hypercapniques et l'âge, le sexe et les performances sportives. » Sports medicine 19, n° 3 (1995) : 173-183.
[5] Morton, AR, et al. « Comparaison de la consommation maximale d’oxygène avec la respiration orale et nasale. » Revue australienne de science et de médecine du sport 27, n° 3 (1995) : 51-55.